Georgette Paquet, fille de Renée Comettant, vers 1922
Jeanne Paquet, fille de Renée Comettant vers 1922
Léon Picard | |||||||||||||||||||||||||||
Invité par les demoiselles Jeanne et Georgette Paquet à leur domicile, j'ai rencontré les deux demoiselles Picard (Jeanne et Espérance) dont le père, M. Léon Picard, ingénieur agronome, fut le premier chef de travaux agricoles d'Anticosti, plus précisément de la ferme du village de Baie-Sainte-Claire.
Les demoiselles Picard sont nées à l'île, mais ont quitté les lieux lorsqu'elles étaient âgées de cinq et six ans (en 1903).
M. Picard voyait un grand potentiel dans l'agriculture à l'île; il a démontré que l'on pouvait y cultiver une grande variété de plantes. Il mourut à Québec et laissa trois enfants, dont un garçon. |
Schmitt, docteur | |||||||||||||||||||||||||||
Les demoiselles Picard me racontent qu'elles ont rendu visite au docteur Schmitt à Montréal étant toute jeunes.
D'après celles-ci, le Dr Schmitt a été foudroyé d'une crise cardiaque (?) dans la rue, au moment de quitter son bureau de médecine.
Il avait une pratique privée. Son épouse est décédée à Montréal il y a une trentaine d'années |
Léon Picard - ses filles | |||||||||||||||||||||||||||
M. Léon Picard a quitté l'île d'Anticosti suite à une maladie de son épouse, qui fut hospitalisée trois mois à l'Hôtel-Dieu de Québec. Il décida de demeurer dans cette ville par la suite.
Les demoiselles Picard me racontent que leur père avait engagé une institutrice pour l'éducation de ses deux filles lorsqu'ils habitaient Baie-Sainte-Claire.
Elles n'ont pas été à l'école comme tous les enfants du village, dans l'école où enseignait M. Lerouzès. |
Lucien Comettant | |||||||||||||||||||||||||||
Les demoiselles Paquet m'ont remis des documents sur leur grand-père, M. L.O. Commettant, qui répondait, lorsqu'on lui demandait quel est le meilleur remède pour combattre le mal de mer : « s'allonger à l'ombre d'un très grand arbre ». |