Lionel Lejeune
Charlie McCormick | |||||||||||||||||||||||||||
Commentaires de M. Lejeune sur le livre de Charlie McCormick :
M. Lejeune décèle de très nombreuses erreurs d'interprétation des événements, de dates, il affirme qu'il serait important qu’un autre livre soit écrit pour rétablir les faits.
Charlie mentionne que des braconniers, pour payer leurs amendes, ont bâti un bateau.
Ceci serait faux; le bateau aurait été construit à Aguanisa [Aquanita, en Australie?Aguadilla, Porto-Rico?]; il aurait été amené à l'île au printemps.
Lord Bessborough a donné des épingles à cravate et des boutons de manchette à tous ceux qui ont été à son service pendant son séjour à l'île, et non seulement à Charlie.
M. Lejeune me montre une épingle à cravate qu'il a reçue, avec le B en médaillon.
Le premier hiver, celui de 1926, Charlie a transporté du foin du village au camp dans le bois. Il n'est pas demeuré au village comme il le prétend.
Le père Trépanier était maître de chant, mais il n'a jamais chanté le Minuit chrétien à en faire trembler les vitres.
Charlie a été nommé responsable du village seulement en 1952-1953.
On ne chantait pas la messe en anglais, mais uniquement en français ; les religieuses dirigeaient souvent ceux qui chantaient.
Le feu qui eut lieu à la Petite Rivière en août 1936 fut causé par des braconniers. Il ne serait pas vrai que tout le monde avait quitté les lieux du feu, comme Charlie le prétend.
M. Lejeune y est demeuré, ainsi que quatre autres personnes. Ils ont quitté les lieux après l'arrivée de Charlie. Celui-ci arrivait de la rivière McDonald.
Le canon fut sorti de la mer à la Pointe-Ouest en 1961 et non en 1964. C'est le docteur Synott de L'Anse-au-Griffon qui a obtenu la permission de Monsieur Lachance d’utiliser la grue du garage pour sortir le canon de l'eau.
Celui-ci fut transporté au garage et on a enlevé les boulets qui obstruaient l'orifice. Le Dr Synott a amené les boulets; le canon serait désormais à l'île Sainte-Hélène.
Il s'agirait d'un canon du St Mary. Le canon du carré français à la Baie-Sainte-Claire dans le temps de M. Menier avait également été retiré des battures de la Pointe-Ouest et serait à Baie-Comeau.
Lorsque Alfred Martin a trouvé le corps de McDonald, il était allongé sur son lit et le cadavre était partiellement mangé par les rats.
Celui qui a montré à Charlie à naviguer, ce n'est pas Édouard Miville [?] mais Jos Martin.
Charlie était guide à la rivière Vauréal en 1932; Félix Poitras était cuisinier et Lionel Lejeune, « aide ». C'est la première fois que Charlie voyait la chute.
L'avion qui était venu distribuer le courrier autour de l'île (pour les fêtes) : le pilote a vu des traces de raquettes sur la surface du lac McDonald sur son chemin du retour.
Le lendemain, l'avion retourne à ce lac et on capture les braconniers.
Il y avait de la lumière dans le village durant toute la guerre.
M. Lejeune prétend que Charlie n’était et n’a toujours été que toléré à l’île, qu'il n'a jamais été accepté par la population, car il était imposé.
Il était peu ou pas accepté par ses beaux-frères, dont plusieurs (la plupart) ont quitté l'île. |
Juges de paix | |||||||||||||||||||||||||||
les juges de paix ont été Arthur Drolet, Eugène Chevalier père, M. Mongenais, Albert Bergeron et Charlie McCormick, celui-ci en 1953. |
Surveillance de l'île | |||||||||||||||||||||||||||
Francis Boudreault avait la responsabilité de la surveillance de l'île. Il patrouillait du côté sud et Charlie McCormick surveillait le côté nord. |
Albert McCormick | |||||||||||||||||||||||||||
Albert McCormick fut nommé responsable de la ferme Saint-Georges au printemps de 1930.
Il remplaçait M. Mercier et eut un assistant, M. Xavier Bergeron, originaire de la Rivière des chiens (Beaupré).
Albert ne connaissait rien à l'agriculture, mais Townsend lui avait donné le poste.
Il commença par se débarrasser des moutons, puis de la volaille et ensuite des cochons.
Il ne restait en 1931-1932 que les boeufs et les vaches. |
Wilcox | |||||||||||||||||||||||||||
Wilcox abandonne sa maison en 1952 et va demeurer à l'hôtel de Port-Menier. M. Lionel Lejeune avait pour travail de chauffer la maison de Wilcox et de développer ses photos pour la compagnie.
Il ne restait en 1931-1932 que les boeufs et les vaches. |
Piste d'atterrissage | |||||||||||||||||||||||||||
M. Lionel me raconte que l'aviation canadienne envoya des gens à l'île à l'automne 1939 pour faire le tracé d’une piste d'atterrissage à la ferme de Rentilly et au lac Plantain.
La piste aurait été construite de chaque côté du chemin qui mène de la ferme au lac.
Le projet fut abandonné et la piste construite plutôt à Mingan. Cependant, il a vu une borne [?] (Il y en aurait 4, une à chaque coin) en cuivre sur laquelle il est écrit « propriété de la Royale Air Force ». |
Peu de travail | |||||||||||||||||||||||||||
Au cours des années 1930, on coupait du bois de chauffage et on réparait les embarcations.
Il y avait très peu travail et il arrivait souvent que l'on cache les hommes.
Ainsi, Charlie McCormick et Jos Martin passèrent un hiver aux Trois-Ruisseaux à faire très peu de travail.
Durant la guerre, il était fréquent que l'été les gardes du côté nord, au lieu de surveiller les braconniers, allaient voir les femmes des militaires à Longue-Pointe-de-Mingan. |
Bateau - Copaco | |||||||||||||||||||||||||||
Le COPACO fut vendu pour 11 000 $ à Louis Cormier du Havre. C'est par le biais du bureau chef de Montréal que le navire fut vendu.
On l’avait pillé de tous ses agrès avant que le nouveau propriétaire en prenne possession.
Wilcox a dû donner l'ordre de tout remettre en place. Louis Cormier n'a jamais été capitaine à bord d'un navire de guerre.
Son premier capitaine fut Fernand Chouinard de Saint-Jean-Port-Joli, mais seulement un été (1936).
En 1937, on décida d'engager un nouvel équipage pour la saison sur le COPACO parce que l'on voulait faire travailler les matelots de l'île sur la terre ferme.
On fit venir un équipage entier de la Nouvelle-Écosse (tous anglophones).
Le capitaine avait des difficultés de vision. L'équipage ne put compléter l'été et c'est le capitaine Jos Lévesque qui vint terminer la saison de navigation de 1937.
Il demeura en poste également toute l'année 1938. De 1939 à 1945, ce fut le capitaine Léo Blouin qui dirigea le COPACO. Ce navire a voyagé en 1946 également.
Il faisait le service autour de l'île et également un voyage par semaine à Québec. Le bois qui a servi à la construction provenait de la rivière Becsie.
Ce bois fut remorqué à Port-Menier à l’aide du Jolliet. |
Garde-chasse | |||||||||||||||||||||||||||
Les gardes-chasse étaient M. Gagnon et ses hommes, M. Galibois, M. Salesman et Francis Boudreault. |
St-Pierre et Miquelon | |||||||||||||||||||||||||||
Les gens de Saint-Pierre-et-Miquelon à l'île d'Anticosti :
André James, M. Boudoul, Eugène Chevalier père furent les premiers à arriver à l'île ; ils furent suivis de M. Pichon, d’August [?] Tillard, de Fernand Tillard, de Jos et de Vincent Apestiguy. Vincent a décidé d’aller ensuite en Nouvelle-Écosse travailler dans les mines. La soeur de Jos a épousé Placide Duguay. |
Bateau - SS Fleurus | |||||||||||||||||||||||||||
SS Fleurus : ce navire était en service autour de l'île. Il transportait des touristes et du fret.
On se rendait à l'île du Prince-Édouard et on transportait des patates jusqu’à Montréal.
Il y avait une plaque en avant sur laquelle était imprimé « a été construit à Saint-Nazaire en Loire extérieure ».
On laissait à l'île du Prince-Édouard de la viande de cheval pour nourrir les renards des parcs d'élevage en 1938. |
Braconnage selon Mgr Leventoux | |||||||||||||||||||||||||||
Braconnage : Mgr Leventoux, ancien curé à l'île d'Anticosti, lorsqu'il était curé au Havre Saint-Pierre, a dit aux gens qui lui demandaient si c'était péché de braconner à l'île :
« Les animaux ne sont pas la propriété de la compagnie, car on ne peut pas les compter ; si on les gardait dans un parc et on en savait le nombre, à ce moment-là ce serait un péché, car il s'agirait d’un vol. » |
Tourbe | |||||||||||||||||||||||||||
On a, un certain temps, exploité la tourbe située sur la rive du lac Saint-Georges.
On déposait les briques de tourbe sur un support pour le séchage. Cette tourbe était vendue aux villageois pour chauffer les maisons.
Ce combustible dégageait peu de chaleur et une forte odeur de matière organique en décomposition. Elle fut peu utilisée. |
Chateau | |||||||||||||||||||||||||||
Villa : Mme Élisa Lejeune allait, tous les printemps, dans une tourbière chercher des « pipes » (sarracénies) et des fougères pour les planter dans les vases à fleurs de la Villa. |
La Chicotte | |||||||||||||||||||||||||||
Son gardien était Anselme Poulin, époux de la soeur de Jos Martin. La rivière fut utilisée deux ans pour les touristes pêcheurs. Le père d'Anselme se nommait Richard Poulin. |
Truite | |||||||||||||||||||||||||||
Martin-Zédé faisait prendre les truites à la « puise » pour ensemencer différents ruisseaux près de Port-Menier afin de démontrer aux éminents visiteurs l'abondance de ce poisson dans le moindre petit ruisseau de l'île. |
Goose Point | |||||||||||||||||||||||||||
Le garde-pêche à Goose Point au début des années 1930 fut M. Vézina.
Il fut remplacé en 1939 par Johnny Francis qui occupa ce poste jusqu'en 1946. Vézina était célibataire et frère d'Anselme. |
Bateau - SS Jolliet | |||||||||||||||||||||||||||
Le premier capitaine du Jolliet fut le capitaine Bélanger ; son second était Éphrem Boudreault. Le second capitaine, de 1931 à 1933, fut Jos Lévesque; le troisième, Alfred Ouellet, originaire de l'Île verte, de 1934 à 1936. Le quatrième capitaine fut Joseph Vézina, originaire de Saint-Michel de Bellechasse.
C'est à l'automne 1936 que le Jolliet fut démantelé et coulé au milieu de la Baie Ellis. Les agrès ont servi pour le COPACO.
C'est le capitaine Ouellet qui a décidé de condamner le Jolliet, craignant qu'il sombre. Selon M. Lejeune, le navire était très sain. |
Violons | |||||||||||||||||||||||||||
Violons : il y eut au moins trois violons sur l'île d’Anticosti. Georges Duguay est en possession de l'un d'eux ; Camille Lejeune possède les deux autres. L'un de ces violons aurait appartenu à M. Myard. |
Rats musqués | |||||||||||||||||||||||||||
Rats musqués : d'après M. Lejeune, les difficultés d'implantation des rats musqués sont en grande partie attribuables à la prédation par les hiboux.
Il a souvent observé des hiboux dévorant des rats musqués.
Les hiboux étaient très nombreux. Il me raconte qu’un premier envoi de rats musqués, à l'époque des Menier, fut détruit (on noya les animaux) parce que l'on craignait que les jardins soient détruits par ceux-ci. |
Quai - Tressels | |||||||||||||||||||||||||||
Il y eut deux tressels. Le premier fut construit en 1928 par l'ingénieur Richardson et le second en 1946 par l’ingénieur Delaurier. Bernard Lejeune fils était le contremaître dans les deux cas. |
Moulin à scie | |||||||||||||||||||||||||||
Celui du village était situé près du canal, puis il fut déménagé près de l'atelier des locomotives.
C'est M. Chevalier père qui s'occupait de la cour durant les années de la crise. |
Électricité | |||||||||||||||||||||||||||
Ce sont les « boilers » des deux grues à vapeur de 1927 qui se trouvaient sur le quai qui ont été amenés à la Locoshop pour le chauffage et la production d'électricité.
Ces bouilloires étaient chauffées au bois et produisaient de l'électricité pendant l'hiver (l’eau gelait dans le canal et la turbine ne pouvait fonctionner).
On avait de l'électricité à compter de 16h jusqu'à 23h.
Cette installation n'a été utilisée que pendant deux hivers. On n’avait le droit, pendant le temps de la crise, que d'utiliser des ampoules de 40 et 60 W. |
Naufrage - Incemore | |||||||||||||||||||||||||||
Le navire Incemore qui échoua à la Pointe de l'Est en 1939 fut pillé par des pêcheurs.
On vola surtout des motocyclettes. C'est le détective Montcalm Galibois de Québec qui vint enquêter. |
Médecins | |||||||||||||||||||||||||||
Les premiers médecins de Port-Menier habitaient la « maison blanche », la maison Wilkinson.
Il y eut le Dr Péloquin, le docteur Perrier et le docteur Martin.
Le docteur Perrier fut remplacé, pendant ses vacances, par un docteur Jobin [?] de Québec. De 1926 à 1946, le médecin habitait la maison Arthur Renaud.
En 1927, il y eut trois médecins à l'île, dont les docteurs Martin et Gagné, et un médecin au service de la compagnie Foundation.
Après le départ du docteur Martin en 1929, ce fut le docteur Gagné qui le remplaça (il était parent avec Mère Sainte-Yvette). |
Le Club | |||||||||||||||||||||||||||
Fermé en 1926, le Club servit d'habitation en 1927 pour les ouvriers du quai et aussi pour les ouvriers forestiers qui quittaient leur travail (ils demeuraient au second étage). |
Fêtes | |||||||||||||||||||||||||||
De 1926 à 1946, il n'y eut aucune célébration de la Saint-Jean ou de la fête du 14 juillet. L'Anticosti Corporation n'encourageait pas ces festivités.
Dans le temps de Wilcox (1946-1954), on a décrété un jour férié connu sous le nom de « Anticosti Day ».
Cette fête avait lieu à une date variable, généralement en août. |
Disputes | |||||||||||||||||||||||||||
Les disputes dans le temps de Wilcox étaient surtout attribuables à la boisson et à cause des conflits entre les différents groupes ethniques.
Il y avait des combats de gangs (et non pas pour les filles, comme le prétend Charlie McCormick). |
Camp McDonald | |||||||||||||||||||||||||||
Camp McDonald : À la fin des années 1920, le garde se nommait Bourgeois et était de Havre-Saint-Pierre. En 1931-1932, le garde fut Alfred Martin. |
Camp Vauréal | |||||||||||||||||||||||||||
Camp Vauréal : Ce camp fut construit en 1931. Charlie McCormick était chef-garde et Joseph Martin, son adjoint (années 1932-1933). Sur la rive est de la rivière, il y avait un petit camp de chasse. |
Camp de la rivière Saumon | |||||||||||||||||||||||||||
Camp de la rivière Saumon : M. Collar y était guide pendant les années 30. Les rivières étaient louées à la semaine à des groupes de deux à six touristes. |
Rivière Chicotte | |||||||||||||||||||||||||||
Rivière Chicotte : Anselme Poulin fut guide de 1931 à 1946 (loué aux touristes deux étés seulement). |
Radio | |||||||||||||||||||||||||||
Radio : la première radio fut amenée à l'île par M. Arthur Renaud en 1923. Cette radio fut « rassemblée » par M. Renaud et le bois qui fut fabriqué par Odina Richard.
Les radios furent véritablement implantées dans les foyers seulement après 1926.
Le concert qui fut présenté par les Anticostiens à la radio Marconi et transmis via Mont-Joli par les frères Landry fut écouté par la population de l'île grâce à la radio de M. Renaud, qui avait amené le poste dans le Club, où la population s'était regroupée pour l'occasion.
Le concert fut donné par Bernardin Lejeune (chanteur), François Lejeune (accordéon) et Jos Lejeune (violon). |
Bois de chauffage | |||||||||||||||||||||||||||
Le bois que l'on retrouve autour de l'île renferme trop de sel pour que l'on puisse l’utiliser pour le chauffage.
Le métal du poêle est endommagé par le sel; le fer devient blanc et se tord. |
Famille Lelièvre | |||||||||||||||||||||||||||
Famille Lelièvre : le père d'Antoine Lelièvre se nommait Joseph. Il était originaire de la Gaspésie (probablement de Grande Rivière).
Dans le temps de Gaston Menier, il habitait à la rivière Canard où il s'occupait du moulin à scie. Ce n'était pas un bon menuisier, mais un excellent contremaître, très humain. |
Mme Georges Menier | |||||||||||||||||||||||||||
Mme Georges Menier : Elle amenait Lionel Lejeune et ses quatre enfants au cinéma du Club en 1925. Elle demandait souvent à Lionel de décrocher ses truites. |
Norvégiens | |||||||||||||||||||||||||||
Des Norvégiens (Linddall, Lundgran (?) et Brolin) ont été les premiers à amener des skis à l’île d’Anticosti. Lundgran (?) visitait les camps de bûcherons en ski depuis Port-Menier jusqu'à la Becsie.
Un Norvégien du nom de Neyar (?) s'est noyé à la rivière Becsie. |
Bateau | |||||||||||||||||||||||||||
Le navire Belfree était d'origine norvégienne.
Le Port-Alfred fut construit par la Consol. |
Ferme | |||||||||||||||||||||||||||
M. Townsend avait promis la direction de la ferme Saint-Georges à Albert McCormick. Il obtint ce poste au printemps de 1930 et entreprit une réorganisation.
Il fit abattre tous les moutons, puis les poules, ensuite les cochons, pour ne conserver que les vaches et les bœufs.
Son adjoint était Xavier Bergeron, qui était originaire de Sainte-Anne-de-Beaupré (Rivière aux chiens); il était responsable de la ferme Rentilly. |
Films | |||||||||||||||||||||||||||
M. Lionel Lejeune me montre des films 8 mm : jeu de hockey, ballon-balai, boxe ; chasse-neige, pique-nique à la Baie Martin et à l’Anse-aux-fraises ; scènes de du village, feux de l'église et du Château.
M. Albert Bergeron de Shawinigan a peut-être des négatifs des photos prises par Wilcox.
Le film noir et blanc 16 mm que j'ai en ma possession aurait probablement été réalisé par Henri Valiquette, qui avait une ciné-caméra.
C'est le Dr Quesnel qui a utilisé l'appareil après le départ de Valiquette; le Dr Quesnel demeure à Port-Daniel. |
Iles de la Madeleine | |||||||||||||||||||||||||||
Léger et William Noël sont des Îles-de-la-Madeleine. |
Tappage et garde | |||||||||||||||||||||||||||
La dernière année de trappage autour de l'île fut 1946, l'année même où Charlie fut nommé chef-garde.
En 1947, il n'y avait plus aucun garde autour de l'île. |
Peter Leblancq | |||||||||||||||||||||||||||
Peter Leblancq a épousé une Wright, soeur de Bella, épouse de Fabien Noël. |