Lucienne Malouin | ||||||||||||||||||||||||||
Elle est entrée comme pensionnaire au couvent de Port-Menier à l'âge de trois ans; elle y avait également des frères et soeurs. |
Pointe-Ouest | |||||||||||||||||||||||||||
Bâtiments de la Pointe-Ouest : maison des matelots, laiterie, huilerie, étables, criard, etc.
Blanche Malouin, épouse de Lorenzo, disait que Louis Rinfret dit Malouin était originaire d'Écosse ou de Saint-Malo.
Le juge Rinfret d’Ottawa était un Malouin dit Rinfret.
Mme Odile Malouin fut la deuxième épouse d’Alfred et était une Ferland originaire de Québec.
Elle avait une soeur mariée à M. Landrieu de l'île et une autre mariée à un monsieur Marmette.
Cette dernière n'est jamais allée à Anticosti.
Le phare de la Pointe-Ouest a brûlé en 1947 ou 1948. |
Ossements de Gamache | |||||||||||||||||||||||||||
Elles me racontent que les ossements de Gamache ont été déterrés en 1951 et amenés devant l'église dans une boîte de camion pendant la messe.
C'est le curé Roy qui a réenfoui les ossements.
Elle est persuadée que c'était en 1951, car ils sont entrés à l'île en novembre 1950. |
Mère de Lucienne Malouin | |||||||||||||||||||||||||||
Elle me raconte que sa mère, lorsqu'elle était très jeune, avait été mise en pénitence sur la galerie à genoux.
Martin-Zédé qui passait par là lui demanda ce qu'elle faisait. Elle répondit qu'elle cherchait un 25 ¢.
Martin-Zédé lui en remit un et entra dans la maison avertir la mère de la jeune fille de… On devine le reste. |
Parc à Outardes | |||||||||||||||||||||||||||
Lucienne se rappelle un parc à outardes situé dans le champ à droite de la route en arrivant au pont du ruisseau Diane.
Les outardes sauvages y étaient enfermées. À gauche, dans le champ, il y avait des cages renfermant d'autres oiseaux.
Léger (?) Noël, policier à l'île, habite Sept-Îles. |
Henri Cyr | ||||||||||||||||||||||||||
Henri Cyr (frère [?] de Dollard Cyr, curé à Sept- Îles) habite Montréal, est capitaine de navire et il a de nombreux souvenirs de l'île, surtout de son grand-père, William Girard (père de Tancrède, d’Alphonse, de Guillaume et de Marie).
Il serait bon que je rencontre ce monsieur. |